il s'agit d'un lien de sympathie s'installant entre la victime d'une séquestration prolongee et son ravisseur
Ce comportement paradoxal des victimes de prise d'otage, a été décrit pour la première fois en 1978 par le psychiatre américain F.Ochberg qui lui donne ce nom syndrome de Stockholm, en relation avec un fait divers ayant eu lieu dans cette même ville.
Le 23 aout 1978, un évadé de prison, Jan Erik Olsson tente de commettre un hold-up dans l'agence de la Kreditbanken du quartier de Norrmalmstorg à Stockhom. Lors de l'intervention des forces de l'ordre, il se retranche dans la banque où il prend en otage quatre employés. Il obtient la libération de son compagnon de cellule,qui peut le rejoindre. Six jours de négociation aboutissent finalement à la libération des otages. Curieusement, ceux-ci s'interposeront entre leurs ravisseurs et les forces de l'ordre. Par la suite, ils refuseront de témoigner à charge, contribueront à leur défense et iront leur rendre visite en prison. Une relation amoureuse se développa même entre Jan Erik Olsson et Kristin, une des otages. La légende veut même qu'ils se soient mariés par la suite, mais ce fait fut démenti
Par la suite ce phenomene fut remarque pls fois ds des circonstances simililaires
la syndrome semble etre une reaction de defense du psychisme contre un traumatisme de sequestration prolongee
Inversement le syndrome peut s'appliquer aux ravisseurs, qui peuvent être influencés par le point de vue de l'otage