Grève générale des étudiants

lithium a écrit:

@Douda : pas de panique j'ai juste oublié de le modifier

alors salut tous le monde
quoi de neuf pour notre chère grève

salam
et alors, on attend ce jour là depuis longtemps, hraoubia n'a parlé que sur les systemes LMD et classique,....
ou sont nos revendications les pharmaciens, et les dentistes....

je suis complétement perdue

tu sais,on se pose tous la même question et personne ne répond

kalek 30 Avril c pr la pharma et dentist

sarouche a écrit:

salam
et alors, on attend ce jour là depuis longtemps, hraoubia n'a parlé que sur les systemes LMD et classique,....
ou sont nos revendications les pharmaciens, et les dentistes....

moi aussi j'ai vue les info de 13 heure et ils ont parler des médecins spécialiste (échelon 19 ) et généralistes ( ech 16 )
des ingénieurs .....etc mais les pharmaciens ????? .....c pas ça du tout

des médecins spécialiste (échelon 19 Shocked ) et nous

je n'est rien contre les medecins;mais il ne faut pas nous négliger

miss a écrit:

kalek 30 Avril c pr la pharma et dentist

on va pas attendre jusqu'au 30 avril et on peut boycotter les cours juska le 30
ça sera trooooooooooooooooooooooo

labila a écrit:

des médecins spécialiste (échelon 19 Shocked ) et nous

echelon 19 qui veut dire ??

pas de panique , les pharma n'ont pas été convoqué pour la réunion qui a été programmé hier , et puis le ministre rmalhoum el ma ( shab LMD )
conclusion : les étudiants algeriens sont dans la m***** voilà
ps : je ne vois pas l'interet du topic , sera fusionner ac celui de la greve
merci

mabrouk pr les medecin la3kouba lina à bietoooooooooooooooooooooooooooooooooooot nchalah

ana chekit qu'il ne faut pas juste attendre jusqu'au 30 avril, pask ydirolna comme lavec ceux du LMD, alors qu'ils sont plus nombreux que nous et avec tous ça, il s'est bien fouttu de leur gueules, alors imaginez nous :s attendre jusqu'au 30 avril bech ttefra ok, mais si c'est pour qu'il vienne nous jouer avec les mots pas la peine...

wechnouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu medcin spècialiste categorie 19 essemhouli bessah grave :882816:nous on fè la grève et lè medcins soient remontès les pharma il faut agir cette grève est devenu une histoire de nif il faut bouger le + vite possible sinon rahete 3lina

qui vous a dit le 30 av

je ne comprend pas ce que veut dire ce 30 avril? alors svp c quoi au juste?

Grrrr je déteste de plus en plus el'boulitiiiiiique

dreamy girl a écrit:

wechnouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu medcin spècialiste categorie 19 essemhouli bessah grave :882816:nous on fè la grève et lè medcins soient remontès les pharma il faut agir cette grève est devenu une histoire de nif il faut bouger le + vite possible sinon rahete 3lina

Non w'nchallah matrou7ch 3lina ...!!

@samir.pharma : 3almi 3almek

svp il y a des nouvells concernant la greve

concernant la date de 30 Avril , selon le ministre il y aura une conférence nationale des doyens des facultés de médecine

le 30 Avril est une date limite

c a d koi ?
ON VA FAIR koi?

KYLE XY a écrit:

c a d koi ?
ON VA FAIR koi?

is9at ennidame ou bien faire un barbecue sur la terrasse de Matiben !

ginkgo biloba a écrit:

concernant la date de 30 Avril , selon le ministre il y aura une conférence nationale des doyens des facultés de médecine

le 30 Avril est une date limite

et les etudiants

ginkgo biloba a écrit:

concernant la date de 30 Avril , selon le ministre il y aura une conférence nationale des doyens des facultés de médecine
le 30 Avril est une date limite

et les etudiants

MaxouDZ a écrit

Citation :

is9at ennidame ou bien faire un barbecue sur la terrasse de Matiben

trés drole ,mais c vraiment pas le moment de rigoler
les pharmas faut vraiment prendre une décision en extréme urgence;si on veux que notre grève soit couronnée de succés;on ne peux pas et on ne doit pas attendre jusqu'au 30 avril
je m'adresse aux délégués;;;merci

le journal le soir a écrit
Démonstration de force des médecins résidents




Les médecins résidents ont entamé, hier, leur mouvement de grève illimité. Le taux de suivi, au premier jour, dépasse les 95%, assure le collectif des médecins résidents algérien. Ils attendent une réponse favorable à leurs doléances de la part du ministre de la Santé.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) -Les établissements hospitaliers sont, depuis hier, bloqués par la grève des médecins résidents, des chirurgiens dentistes et des pharmaciens. Les grévistes annoncent la couleur : «Nous sommes déterminés à aller jusqu’au bout de nos revendications.» Le mot d’ordre de grève a été massivement suivi, se félicite le collectif des médecins résidents algérien, initiateur de ce mouvement, qui avance un chiffre dépassant les 95% à l’échelle nationale. Ce dernier assure, cependant, que le service minimum et les gardes sont assurés. Les grévistes ont déjà tenté d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur leurs conditions de travail, mais en vain. Ils ont observé à plusieurs reprises des sit-in au sein de différents CHU du pays suivis de deux grèves cycliques de deux semaines. Des actions qui n’ont visiblement pas fait bouger la tutelle pour amortir la crise. Notamment, le ministère de la Santé, accusent les grévistes. Pour maintenir la pression, les résidents ont décidé de durcir leur mouvement. «La grève est illimitée jusqu'à la satisfaction de la plate-forme de nos revendications», affirme-t-on. «La balle est dans le camp du ministre de la Santé», a souligné un délégué qui précise que le collectif reste ouvert au dialogue. D’ailleurs, une rencontre est prévue, aujourd’hui, entre les délégués des médecins résidents et des représentants du ministère. «Nous irons, mais pour demander la participation des représentants du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique avant de commencer les travaux sur la révision de notre statut», a indiqué le Dr Merouane Sid Ali, délégué. Outre la révision de leur statut, les grévistes demandent la suppression du service civil, le droit à l’exercice syndical, le bénéficie de la grâce portant sur le service national, la revalorisation salariale, le bénéfice des primes de risque, de contagion, des accidents de travail et d'encadrement, la revalorisation de la prime de recherche, actuellement de 4 000 DA, ainsi que la revalorisation de la prime de garde, qui varie entre 600 DA et 700 DA. Concernant la partie liée au volet pédagogique, il semblerait qu’elle ait été satisfaite puisque les médecins résidents ont été informés que la note portant sur les examens intercalaires et la prolongation de certaines spécialités a été suspendue. «Nous avons exigé de revenir à l’ancien système, soit un examen sanctionnant la première et la dernière année de notre cursus, afin de mieux nous concentrer sur la formation», ont rappelé les résidents.
S. A.

Mobilisation maximum à Oran
Le collectif autonome des médecins résidents peut, d’ores et déjà, se vanter d’avoir mobilisé toute la corporation à Oran, soit à peu près 2 000 résidents qui, à l’unanimité, ont suivi la grève, dès le premier jour, que ce soit dans les EHS, CHU ou EHU.

Forts d’un suivi qui frôle les 100%, les médecins résidents se sont déjà projetés sur la suite de leur mouvement de grève qui va dans les trois jours qui suivent se radicaliser de manière dramatique pour les usagers de la santé. En effet, au lieu d’apaiser les tensions, la tutelle a eu des propos extrêmement maladroits à l’encontre des médecins résidents, touchés au plus profond de leur dignité. «Ce ministre qui n’a probablement jamais eu à se faire soigner en Algérie affirme que nous ne sommes que des stagiaires et que dans l’ensemble des activités hospitalières, nous ne représentons que 0,5% … et bien dans trois jours, il va voir si nous sommes des stagiaires. Donc, nous n’avons aucune responsabilité vis-à-vis des malades et nous allons engager la grève du service minimum… » Un choix approuvé à l’unanimité par les résidents et qui obligera les pouvoirs publics à passer par des réquisitions. Mais d’ores et déjà, c’est la paralysie des hôpitaux qui pointe, à l’exception des malades atteints de cancers et les urgences médico-chirurgicales, les résidents ne feront plus rien. L’on s’achemine vers la déprogrammation des interventions chirurgicales, l’annulation de toutes les consultations, pas d’hospitalisation, aucune garde des malades... Le ministre de la Santé, dans la conjoncture sociale actuelle du pays, peut-il se payer le luxe de paralyser tout le système de santé ?
Fayçal M.

Constantine suit le mouvement
Déçus par l’attitude du ministre de la Santé et peu convaincus par les déclarations du ministre de l’Enseignement supérieur, les médecins résidents du CHU de Constantine sont entrés, hier, en grève illimitée, et ce, jusqu'à l’aboutissement de leurs revendications.

Après avoir observé un rassemblement devant la direction de l’hôpital, les étudiants en médecine ont organisé une marche à l’intérieur du CHU pour exprimer leur ras-le-bol devant une situation qui n’a que trop duré. Aussi scanderont-ils tout au long de leur procession des slogans réclamant plus de dignité et de considération. Toutefois, le service minimum et les gardes ont été assurés. «Nous ne reculerons devant rien cette fois-ci. Nous sommes déterminés à poursuivre notre action jusqu'à ce que nos revendications légitimes soient prises en charge», ont clamé les grévistes. Commentant l’information selon laquelle le décret portant organisation des examens intercalaires aurait été annulé, la porte-parole du collectif autonome des médecins résidents d’Algérie (CAMRA) au CHU Benbadis a démenti catégoriquement cette information. «Il s’agit seulement d’un gel des examens intercalaires et non pas d’une annulation», a-t-elle affirmé. Par ailleurs, leur revendication concernant le service civil demeure sans réponse convaincante. «Le service civil est un échec en Algérie», s’accordent à dire les médecins résidents. C’est pourquoi, ils réclament le bénéfice de la dispense du service militaire.
Farid Benzaïd

Un suivi massif à Tizi-Ouzou
Le mouvement de grève nationale des médecins résidents a été largement suivi à Tizi-Ouzou. Si l’arrêt de travail a été observé par près de 400 médecins résidents que compte le CHU de Tizi-Ouzou, près d’une centaine d’entre eux ont observé un sit-in devant la direction générale de l’établissement. Un service minimum a été observé par les protestataires qui demandent, en sus des revendications socio-pédagogiques déjà énoncées, un enseignement de meilleure qualité.
S. A. M.

le journal liberté a écrit
Sit-in des architectes de Béjaïa
Les cahiers des charges de la discorde
Par : Moussa Ouyougoute
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Les architectes, mobilisés, réclament l’annulation des cahiers des charges, objet de leur grogne, leur mise en conformité vis-à-vis des lois et règlements en vigueur, leur adaptation aux impératifs qu’impose la conjoncture nationale, la réorientation
de leur contenu avec comme objectif final, la qualité, la célérité et l’économie
du projet.

Les architectes de Béjaïa sont remontés au créneau. Ils ont tenu, dimanche, un sit-in devant le siège de la wilaya. L’action, décidée à l’issue d’une AG extraordinaire, le 23 mars dernier, se veut une dénonciation du contenu des cahiers des charges portant concours d’architecture établis par les maîtres d’ouvrage publics.
Les professionnels, affiliés à l’Ordre des architectes d’Alger, citeront la DLEP, la DUC, l’OPGI, la DAL, la DJS…
Les architectes de Béjaïa constatent que, dans leur ensemble, les cahiers des charges sont en contradiction avec les lois en vigueur et notamment les codes civil et pénal, la loi 90-29 du 1er décembre 1990, relative à l’aménagement et à l’urbanisme, modifiée et complétée par la loi 04-05 du 14 août 2004, le décret législatif n°94-07 du 18 mai 1994, relatif aux conditions de la production architecturale et à l’exercice de la profession d’architecte, modifié et complété, l’arrêté du wali de Béjaïa portant cahier des charges relatif aux concours d’architecture. Pis encore, ils vont, selon eux, à contre-courant du programme gouvernemental de développement et à contresens des mesures prises en faveur des jeunes en matière d’emploi. En termes de création artistique, ils constituent un frein à la production architecturale de qualité car de facto y sont exclus les jeunes architectes qui n’ont pas d’expérience à faire valoir car ils viennent d’arriver sur le marché.
Les architectes, mobilisés, réclament l’annulation de ces cahiers des charges, objet de la grogne, leur mise en conformité vis-à-vis des lois et règlements en vigueur, leur adaptation aux impératifs qu’impose la conjoncture nationale, la réorientation de leur contenu avec comme objectif final, la qualité, la célérité et l’économie du projet.
Tout en appelant les maîtres d’ouvrage publics à la prise en compte de leurs préoccupations et à mettre à contribution les instances de l’ordre des architectes pour l’intérêt du citoyen et du pays, les représentants des architectes de Béjaïa disent soutenir le Conseil de l’ordre de architectes d’Alger pour toutes les démarches qu’il devra entreprendre au niveau des hautes autorités de l’État pour faire valoir leurs doléances dans le respect de l’esprit des textes régissant leur profession et dans l’intérêt suprême de la nation.

el watan a écrit

La grève illimitée largement suivie 2
Les résidents en médecine ont entamé, hier, le premier jour d’une grève nationale illimitée. Le débrayage, initié par le Collectif autonome des médecins résidents algériens (Camra), a connu un franc succès puisque le taux de suivi était, selon les estimations de fin de matinée, de plus de 90%.

Les délégués des grandes écoles rejettent le contenu du PV final 3
Les délégués des grandes écoles réfutent le contenu du PV final de la conférence nationale. Ils ont manifesté leur rejet pour le PV lors de sa lecture devant le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

Débat aujourd’hui à l’APN Réagissez
Le projet de loi portant modification et complétant la loi relative aux assurances sociales sera débattu aujourd’hui à l’APN.

Les avocats menacent d’investir la rue 1
La mise au pas de la profession d’avocat, qui s’annonce à travers l’avant-projet de loi en gestation depuis 10 ans, est à l’origine de la levée de boucliers des avocats réunis les 24 et 25 mars, à M’sila, à l’occasion de la tenue d’un colloque sur les droits de la défense.

«Il y a un risque de perdre l’université algérienne» 2
L’université algérienne se débat dans une crise à plusieurs variables. Si aucun plan de sauvetage n’est mis en place dans un avenir proche, il y aurait un grand risque de la perdre.

Une marche jeudi à Ouargla Réagissez
Le Comité national pour la défense des droits des chômeurs organisera, ce jeudi, une marche de protestation contre l’incarcération de deux chômeurs de la wilaya de Ouargla, en l’occurrence Hamza Ziouane et Adel Aldjia, incarcérés depuis plus de 15 jours suite à leur tentative de se faire exploser avec une bouteille de gaz butane en face du centre de formation de la police à Saïd Otba.

Débrayage à 90% Réagissez
Le secrétaire général du Syndicat national du personnel du ministère du Commerce (SNPMC), Kedad Messaoud, joint par téléphone, nous a affirmé que le mouvement de grève national lancé hier a atteint un taux d’adhésion de 90%.

C'ETAIT JUSTE POUR VOUS DIRE LES PHARMA QU'ON NOUS A COMPLETEMENT OUBLIES!!!
ou sont les pharmas dans tous ça!